Le burn-out


Sortir de l'épuisement professionnel
et retrouver la sérénité.

Sortir de l'épuisement professionnel
et retrouver la sérénité.

Le burn-out




Le burn-out est venu à moi au travers de mes patients et de mon entourage. Touchée par cette problématique, j’ai eu envie de m’y intéresser plus en profondeur afin d’être plus à même d’aider les personnes vivant un épuisement professionnel.

Dans cette optique, je suis devenue membre de l’IPBO (Institut de Prévention du Burn-Out). Etre en contact régulier avec d’autres professionnels spécialisés me permet d’enrichir ma pratique et mes connaissances dans ce domaine particulier.


On entend beaucoup parler de burn-out à l’heure actuelle mais le sujet n’est pas toujours bien connu. Voici donc quelques explications qui vous permettront, je l’espère, de mieux cerner le sujet.

Qu'est-ce que c'est ?

Le burn-out désigne un état de fatigue émotionnelle, mentale et physique pouvant entraîner une situation de rupture professionnelle ou personnelle. Après des mois, voire des années de stress et de surmenage, la personne s’effondre. Malgré une apparence extérieure plus ou moins intacte, la personne est comme « brûlée de l’intérieur », ses batteries sont à plat et elle n’arrive plus à récupérer sur une courte durée.

Un burn-out ne survient pas d’un coup. Il est précédé de différents signes annonciateurs tant émotionnels (irritabilité, émotivité accrue,…) que physiques (douleurs et troubles divers, malaises). Une fatigue importante commence à se faire sentir et le sommeil peut être perturbé. Il peut y avoir également des dysfonctionnements au niveau intellectuel : difficulté à se concentrer, distraction, pertes de mémoire.


Tout à son enthousiasme pour son travail ou sous la pression qu’il subit, le candidat au burn-out est souvent dans le déni : il fait la sourde oreille aux différents signaux d’alarme que son corps lui envoie. Il pense qu’il suffira d’un peu de courage et de bonne volonté et que bientôt, il n’y paraîtra plus.


Il est important d’être attentif à ces premiers symptômes et de redresser la barre suffisamment rapidement afin de ne pas tomber dans le burn-out complet. En effet, le dernier stade du burn-out laisse la personne dans un état d’épuisement physique et émotionnel extrême qui peut nécessiter de longs mois de récupération. La personne n’est tout simplement plus capable de travailler.

L’ÉPUISEMENT

Le premier grand symptôme indicateur de burn-out est une fatigue intense. Celle-ci a des répercussions tant au niveau physique que sur le plan émotionnel et même cognitif.


Manifestations physiques :


La personne se sent complètement vidée. Elle n’a plus aucune énergie et n’arrive plus à récupérer même après s’être reposée. Le corps, qui a épuisé toutes ses réserves, manifeste son mal-être :


• sommeil perturbé : difficulté à s’endormir, réveils nocturnes,…

• douleurs au dos, à la nuque, aux épaules, aux bras, à la tête, …

• troubles cardiaques : hypertension, palpitations, douleurs dans la poitrine, …

• troubles digestifs : douleurs dans l’abdomen, digestion difficile, nausées,…

• troubles de l’alimentation : repas décalés ou oubliés, modification de l’appétit,…

• baisse de l’immunité : infections à répétition,...

• pertes d’équilibre, vertiges

• déséquilibres hormonaux : cycle perturbé,…


Manifestations émotionnelles :


La personne n’arrive plus à gérer ses émotions : elle s’énerve, devient agressive ou fond soudainement en larmes (il se peut aussi, qu’à l’inverse, elle ne ressente plus aucune émotion). Elle éprouve de la difficulté à gérer un fait anodin, tout devient une montagne et elle a de plus en plus de mal à s’adapter aux changements. Une forme d’anxiété se dessine souvent en toile de fond.


Symptômes cognitifs :


• Troubles de la concentration

• Oublis, distractions, erreurs

• Confusion

• Difficulté à prendre des initiatives

• Difficultés de jugement

• Ce premier symptôme, l’épuisement, est le plus révélateur du burn-out. La plupart des personnes s’arrêteront là et ne vivront pas nécessairement les deux autres symptômes qui correspondent généralement à un stade plus avancé de la maladie.


LE DÉSINVESTISSEMENT DE LA RELATION À L’AUTRE


Ce deuxième volet est une conséquence directe du précédent. La personne, épuisée, n’arrive plus à gérer ses propres affects et encore moins ceux des autres ! Etre en relation avec autrui devient difficile : la personne devient froide et distante, elle perd ses capacités d’empathie, elle semble se désintéresser de plus en plus des autres et de ce qu’ils vivent. On peut observer une forme d’isolement social. Ceci est particulièrement frappant chez les soignants : on assiste à une déshumanisation de la relation avec les patients, une forme de cynisme à leur égard fait son apparition. Le plaisir de la rencontre, l’altruisme ont disparu.


SENTIMENT D’ÉCHEC PROFESSIONNEL


Le troisième stade du burn-out est marqué par la dévalorisation. La personne constate une perte d’efficacité au travail. Elle se met à douter de ses compétences et se demande si elle est encore capable de faire du bon travail. Elle se sent de moins en moins à la hauteur. Elle a l’impression d’avoir échoué dans ce qui lui tenait le plus à cœur : elle se sent désormais inutile aux autres et culpabilise. La personne n’éprouve plus le sentiment de se réaliser au travail. Il s’ensuit donc une perte de sens et une frustration importante.


Ces différents éléments entraînent une démotivation vis-à-vis du travail voire même un dégoût de celui-ci. Différentes réactions sont alors possibles : la personne se met à fuir le travail ou à s’absenter de plus en plus régulièrement. Elle peut aussi pallier son sentiment d’inefficacité en passant de plus en plus d’heures au travail.

Dans le cas de la dépression, la perte d’intérêt et de plaisir touche toutes les sphères de la vie (professionnelle, familiale, amicale, loisirs) alors que pour le burnie (la personne en burn-out) seul le contexte professionnel est atteint. Dans les autres domaines, le burnie continue à être enthousiaste et à avoir envie de faire des choses mais son corps ne le lui permet plus. Il n’a plus l’énergie pour passer à l’action, la fatigue prend trop de place.


Le dépressif est plutôt tourné vers le passé alors que les pensées du burnie sont plutôt orientées futur.


Chez la personne atteinte de dépression, les sentiments de désespoir et de tristesse sont intenses. Le burnie peut aussi traverser des phases de grande tristesse mais les sentiments qui dominent sont plutôt la colère et l’irritabilité.


Cependant, la situation du burnie peut s’aggraver. S’il n’entrevoit pas le bout du tunnel, il peut glisser vers la dépression et ses troubles spécifiques : troubles du sommeil importants, troubles de l’alimentation, troubles de la concentration et de la mémoire, très nette anxiété et risques suicidaires.

Les causes du burn-out sont toujours multifactorielles. Si l’individu a sa part de responsabilité dans son burn-out, il serait injuste de lui en attribuer la seule faute. Le burn-out est en effet indissociable du contexte de travail et il s’inscrit également dans une nouvelle dynamique de société.


LES CAUSES SOCIÉTALES


Il n’est de secret pour personne que le monde du travail a bien changé depuis ces 20-30 dernières années. La mondialisation, l’arrivée d’Internet ont eu un impact important sur le fonctionnement des entreprises. La concurrence accrue a incité ces dernières à revoir leurs objectifs de productivité à la hausse tout en réduisant les coûts au maximum. Les effectifs ont donc été réduits et ce, même dans les services publics. Le nouveau leitmotiv devient donc : FAIRE PLUS AVEC MOINS


LES CAUSES LIÉES À L’ENTREPRISE


Intensification du travail


Suite aux changements sociétaux, le rythme de travail s’est accéléré : toujours plus de tâches à traiter avec moins de temps pour le faire et moins de personnel. Les instruments de contrôle permettant de vérifier la productivité se généralisent. Le travailleur est sous pression.


Débordement de la vie professionnelle sur la vie privée 


Avec les nouvelles technologies, le travailleur devient joignable à tout moment. Il peut avoir accès à ses messages et à ses mails 24h/24, WE compris. Cela le maintient dans un état d’alerte permanent, ce qui augmente le niveau de stress. Le télétravail, bien que pratique, contribue aussi à l’effacement de la frontière entre la sphère privée et la vie professionnelle. Le domicile n’est plus ce havre où le travailleur peut se ressourcer et mettre entre parenthèses ses préoccupations professionnelles.


Problèmes de management 

  • Excès ou insuffisance de directives
  • Manque de cohérence entre les différents intervenants ou les décisions à appliquer
  • Mauvaise transmission des informations
  • Manque de clarté par rapport aux tâches à effectuer et par rapport au rôle de chacun
  • Perte de vision à long terme : on travaille dans l’urgence au lieu de s’atteler à ce qui est réellement important
  • Manque de moyens par rapport aux objectifs à atteindre

Facteurs relationnels 

  • Difficultés relationnelles avec une ou plusieurs personnes sur le lieu de travail
  • Harcèlement moral


Manque de reconnaissance et de soutien


Tout être humain a besoin de reconnaissance. Un merci, une valorisation du travail accompli voire même une promotion permettent au travailleur de nourrir ce besoin essentiel. Or, l’univers professionnel est devenu froid et exigeant. La critique est prompte et l’accent est plus souvent mis sur ce qu’il reste à faire. A cela, viennent souvent s’ajouter un manque de perspectives d’avenir et une insécurité latente: le candidat sait qu’il est sur un siège éjectable. Ces différents éléments démotivent les salariés et les rendent plus sensibles à l’épuisement professionnel.


Perte de sens


Les valeurs de l’individu entrent en conflit avec les valeurs de l’entreprise. Le salarié peut se sentir en désaccord à différents niveaux : par exemple, le manque de vision à long terme, l’accent mis sur la rentabilité au détriment de la qualité, la déshumanisation des soins,… Le manque de reconnaissance décrit ci-dessus peut aussi entraîner une perte de sens


Ennui


Le manque de travail, l’ennui provoqué par des tâches répétitives peuvent aussi conduire à l’épuisement. L’absence de défis et le manque d’intérêt de la fonction provoquent l’épuisement professionnel par ennui. On parlera alors de bore-out.


LES CAUSES INDIVIDUELLES


Surcharge liée à l’environnement familial


L’individu arrivait à conjuguer vie privée et vie professionnelle puis un ou plusieurs événements viennent compromettre cet équilibre parfois fragile : l’arrivée d’un enfant, des travaux de rénovation dans la maison, la maladie d’un proche, un enfant avec des soucis de santé ou en décrochage scolaire, des conflits conjugaux, une séparation,… Ces éléments viennent alourdir un emploi du temps souvent déjà bien rempli. La personne se met alors à négliger les temps de repos et glisse doucement vers l’épuisement.


Fragilité liée à notre histoire personnelle


Notre famille nous a légué certains modes de fonctionnement, certaines valeurs et croyances (par exemple « Sois fort » ou encore « Sois parfait ») qui peuvent nous rendre plus vulnérable face aux exigences du monde professionnel. Des blessures issues de notre enfance vont nous rendre plus dépendant du regard d’autrui. Notre soif de reconnaissance risque alors d’entraver notre capacité à poser nos limites (aux autres comme à nous-même).


Personnalité


Les personnes idéalistes, perfectionnistes et avec un haut sens des responsabilités sont plus susceptibles de vivre un épuisement professionnel.

Pour schématiser, le burn-out est la maladie du « trop » et du « pas juste ».

Un « trop » lié un excès de travail ou de choses à gérer.


Un « pas juste » car la personne n’est plus en accord avec elle-même et ses valeurs.

Comme je l’ai mentionné dans le point précédent, les personnes sujettes au burn-out sont des individus enthousiastes, motivés, consciencieux, créatifs et ambitieux. Mus par leur désir de plaire, ils s’impliquent à fond dans leur projet professionnel et se montrent exigeants vis-à-vis d’eux-mêmes. Ils mettent toute leur énergie dans leur travail et négligent de se reposer.


A l’origine, les personnes touchées par l’épuisement professionnel se retrouvaient surtout chez les soignants, les enseignants ou les personnes en contact direct avec un public. Ces métiers sont en effet sont souvent assez exigeants d’un point de vue émotionnel et psychologique.


Actuellement, le burn-out est présent dans toutes les catégories professionnelles et dans toutes les tranches d’âge avec un pic aux alentour de 35-55 ans (période où on cumule vie professionnelle et charges familiales). Les enfants et les retraités peuvent aussi développer un burn-out !


La femme, qui cumule métier et charge de famille, a plus de risques de développer un burn-out. En effet, malgré des avancées dans le partage des tâches, c’est souvent sur elle que repose la plus grande partie des tâches ménagères. C’est aussi elle qui s’occupe en priorité des soins et de l’éducation des enfants. Les patientes qui viennent me consulter parlent souvent de l’importance de leur « charge mentale ».


Cependant, les personnes subissant une pression importante ne tombent pas toutes en burn-out. Qu’est-ce qui fait que l’une craque et l’autre pas ? Certaines personnes, conscientes de leur stress, vont écouter les signaux que leur corps leur envoie. Elles vont ralentir le rythme, prendre du recul et apprendre à lâcher prise par rapport à certaines choses.

Certains avancent une durée de 6 à 18 mois pour s’en remettre. D’autres diront qu’il faut compter la moitié de la période qui amené au burn-out, d’autres encore annoncent une durée égale au temps qu’il a fallu pour chuter. Certains, pour des raisons économiques, doivent se remettre au travail plus tôt qu’il n’aurait été souhaitable. Le rétablissement complet peut alors s’avérer plus long.


La réalité, c’est que le temps nécessaire à la guérison est impossible à prévoir. Il dépend de la profondeur de l’état d’épuisement et de la durée d’exposition aux facteurs de stress. L’attitude que le burnie va avoir face à sa maladie est également prépondérante. Certains burnies, en effet, dès qu’ils sentent un regain d’énergie, se remettent à courir dans tous les sens. Or, c’est en donnant la priorité au repos, en lâchant prise et en s’autorisant à se faire plaisir et à déculpabiliser qu’on maximise ses chances de guérison.

UN TRAVAIL INTERDISCIPLINAIRE


Un travail en collaboration avec plusieurs professionnels de la santé s’avère généralement le plus adéquat. Dans un premier temps, c’est le médecin qui va accueillir la personne en burn-out. Il va effectuer un bilan de santé et va déterminer si la personne est apte à reprendre le travail ou si son état nécessite un arrêt de plus ou moins longue durée. Le « burnie » peut aussi consulter un psychiatre : ce dernier pourra conseiller, si nécessaire, le traitement médicamenteux le plus adéquat (ce n’est pas un passage obligé).


Dans un deuxième temps, lorsque la personne aura retrouvé un minimum d’énergie, elle pourra aller consulter un(e) psychothérapeute. Ce dernier va pouvoir l’écouter, accueillir ses difficultés, l’aider à comprendre les raisons de l’effondrement et la soutenir pour mettre en place de nouveaux modes de fonctionnement.


Enfin, lorsque la personne est prête à reprendre une activité professionnelle, elle peut aller voir un(e) coach spécialisé(e) dans la reprise du travail afin de réfléchir avec lui à des questions plus spécifiques telles que : équilibre carrière/vie privée, identification de ses sources de motivation dans le travail, réflexion de carrière, aide éventuelle dans la recherche d’un nouvel emploi,… Il importe d’attendre que la personne soit bien rétablie afin d’effectuer cette démarche sinon cela va juste créer une source de stress supplémentaire …


LE TRAVAIL PSYCHOTHÉRAPEUTIQUE


Voici les grandes lignes de ce que je propose lorsque j’accompagne une personne en burn-out. Ceci est évidemment à adapter en fonction des besoins spécifiques de chaque patient.


  • Apprendre à s’écouter, soi et son corps
  • Apprendre à gérer son réservoir d’énergie
  • Comprendre les raisons de notre effondrement en explorant : notre environnement professionnel, nos conditions de vie actuelles et notre histoire de vie
  • Apprendre à connaître et à poser ses limites
  • Sortir du perfectionnisme et de la culpabilité
  • Déterminer ses priorités et apprendre à lâcher prise pour le reste !
  • Retrouver sa confiance en soi
  • Déterminer ce qui donne du sens à sa vie et l’intégrer dans son quotidien
  • Préparer et accompagner le retour au travail

La personne a retrouvé un niveau d’énergie suffisant, elle a analysé les dysfonctionnements qui l’ont conduite au burn-out, elle a mis en place de nouvelles stratégies de réussite. Le retour au travail peut être envisagé.


Cependant, la seule idée de reprendre le travail peut créer du stress chez nombre de « burnies ». Il est important que le « burnie » se sente prêt à y retourner et que cette décision soit prise en accord avec son médecin et son thérapeute. Différentes optiques s’offrent alors à lui : reprendre la même fonction qu’auparavant, prendre un autre poste au sein de la même entreprise, changer d’activité professionnelle. Dans certains cas, la possibilité d’une retraite anticipée peut aussi être envisagée.


• Reprendre son ancien job :


Si la personne souhaite redémarrer dans son ancienne fonction, il peut être judicieux d’y aller par étapes. Ainsi, un mi-temps médical peut être une solution qui lui permet de replonger progressivement dans le monde du travail. Au début, d’autres adaptations peuvent aussi être mises en place en accord avec l’employeur : modification des horaires de travail, moindre volume de travail, reprise progressive des tâches (par exemple, commencer par des dossiers plus simples en se remettant peu à peu à traiter des affaires plus complexes). Cela permettra au travailleur de reprendre confiance en lui.


• Redémarrer dans un autre poste au sein de la même entreprise :


Cette solution peut être aussi envisagée dans le cas où la fonction antérieure, par sa nature même, engendre une forte dose de stress. Cela dépend évidemment des possibilités de l’entreprise.


• Changer d’activité professionnelle :


Dans certains cas, le « burnie » réalise qu’il ne peut plus/ne veut plus retourner dans son travail. Soit parce qu’il sait que les conditions de travail vont le mettre à nouveau sous pression, soit parce que ses valeurs ne sont vraiment plus en accord avec le fonctionnement de l’entreprise. Il importe alors de définir un nouveau projet professionnel en prenant le temps d’identifier ses compétences, ses motivations et ce qui ferait sens pour lui. Se faire aider par un coach spécialisé peut s’avérer alors fort utile.


A ce stade, il est plus que judicieux de continuer à se faire suivre en thérapie. En effet, il va falloir mettre en pratique toutes les bonnes résolutions prises pendant l’arrêt maladie. Pas toujours facile ! Des réussites certainement, mais aussi, certaines fois, des retours aux anciens dysfonctionnements.


Important d’avoir un espace qui permette à la fois de mesurer le chemin accompli et d’analyser les éventuelles rechutes. C’est ainsi que, via l’inévitable processus d’essais et d’erreurs, la personne pourra au final intégrer les nouveaux comportements désirés et retrouver la sérénité au travail !

Groupe de parole pour personnes en burn-out

Des outils pour s'en sortir, la force du groupe pour rebondir !

Vivre un burn-out n’est pas facile : vous vous sentez souvent isolé et incompris par votre entourage. Vous avez peu d’ énergie et vous avez des difficultés à vous concentrer. Vos émotions sont souvent en dents de scie.


Avec tout ça, vous êtes probablement perdu. Vous ne vous reconnaissez plus vous-même et vous ne savez plus quelle direction prendre.


Rencontrer d’autres personnes vivant une expérience similaire peut véritablement vous aider à aller de l’avant.


C’est pourquoi je vous propose, ponctuellement, un groupe de paroles pour personnes en burn-out afin de :


  • vous permettre de vous sentir moins seul face à cette problématique
  • acquérir des outils pour une sortie durable du burn-out
  • mobiliser vos propres ressources et utiliser la force du groupe pour rebondir


Ce groupe de paroles se fait, bien sûr, dans un esprit de confidentialité, de bienveillance et de non-jugement.


Je vous invite à me contacter si vous êtes intéressé.e.

Rencontrons-nous

et discutons-en.